• Si vous souhaitez intégrer un nouvel oiseau parmi vos protégés, c’est faisable, il faut surtout leur laisser du temps pour se connaître. Assurez-vous aussi que la cage est assez grande pour accueillir le nouvel arrivant confortablement.

    En premier lieu, ne l’imposez pas directement. Il faut qu’ils fassent connaissances sur un territoire neutre. Ainsi l’autre oiseau ne sera pas considéré comme un intrus violant leur chez soi. Pour ma part, mes oiseaux font connaissance sur une petite table, quand les jeunes oiseaux jouaient hors de leur cage après la patté. Les adultes venaient récupérer un peu de patté et profiter de leur jouets. Il n’y a aucune raison que ça se passe mal.

    Quand ils joueront ensemble, vous pourrez mettre le nouvel arrivant sur le dessus de sa future cage, pour des périodes de plus en plus longue. Il va y entrer et l’explorer, s’il est accepté par les autres oiseaux, ceux-ci ne protesteront pas.

    Pour sa première nuit dans sa future cage et les suivantes, ne leur coupez pas la lumière brutalement. Baissez-la de façon à ce que vos oiseaux sachent que c’est bientôt la nuit, et qu’ils y voient suffisamment pour qu’ils trouvent leur place préférée pour dormir. Cela fait, vous pourrez éteindre complètement.

    Il est possible que certains oiseaux refusent de vivre en collectivité, respectez leur choix. Ça a été le cas de cachou, vivant dans une cage séparé, mais recevant des visites ou visitant l’autre cage dans la journée.

     
    Anecdote :

    Cachou, ayant longtemps vécue seule, refusait d’approcher mes autres oiseaux, et donc vivait ans une autre cage. Kirouette venait la courtiser, et, ave beaucoup de patience, réussi à venir sur le même perchoir qu’elle sans trop recevoir de coups de bec. Il pouvaient ainsi venir la voir dans la journée, mais était mit dehors pour la nuit, ce qui ne l’a jamais empêché de revenir au matin.

    Ci-dessous, Piou Piou jouant sur la petites table pendant que les bébes digèrent.
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  • Quand la luminosité baisse, il faut penser à envoyer vos oiseaux se coucher.

    S’ils étaient de sortis, faites les rentrer dans leur cage pour la nuit : présentez-leur un doigts et amenez-les devant la porte. Ils y rentreront sans problème, même si certains (comme Kirouette) cherchent à ressortir aussitôt, c’est tellement mieux dehors ! Mais ils devront s’y faire et à la longue ne protesterons plus. Si vous les trouvez en train de faire la sieste hors de la cage, réveillez-les en soufflant doucement sur les plumes, cela vous évitera des coups de bec surpris (juste simulé s’ils vous connaissent bien).

    Tous les oiseaux dans leur cage respective, refermez la porte et laissez-les s’installer pour la nuit. Vous remarquerez qu’ils ont leurs emplacements préférés où ils aiment bien dormir (la balançoire pour Piou Piou par exemple), donc si vous avez à éteindre la lumière, attendez qu’ils l’aient tous rejoint. En effet, ils voient mal dans le noir, et pourraient s’affoler ou prendre la place d‘un autre par mégarde (et donc déclencher une bagarre).

     
    Quelques précautions pour la nuit :

    - pas de bruit ni de lumière, ce qui est assez évident. Tout comme vous, ils souhaitent passez une nuit tranquille.

    - ne couvrez pas la cage, ils n’en n’ont pas besoin et vous risquez de les effrayer.

    - ne les oublier pas hors de la cage pendant la nuit. Tant qu’ils dorment, ils ne feront pas de bêtises, mais personne ne viendra les surveiller au petit matin.

     

    Ci-dessous, Cachou faisant la sieste, mais gardant un œil ouvert pour surveiller l’appareil photo.

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  • La callopsite s’exprime, et sait se faire comprendre. Avec un peu d’habitude, Vous pourrez reconnaître son humeur du premier coup d’œil.
     
    C'est un oiseau qui ne crie pas, ou ne le fait que quand elle a un problème.
    Cri d’appel : c’est un cri strident, du genre Hui ! Hui ! Hui ! (Pas facile à reproduire sur un clavier…).
    Elle l’utilise quand elle s’est posée en catastrophe à un endroit peu accessible et demande que l’on vienne la chercher.
    Si vous avez plusieurs calopsittes, elles appellent aussi quand l’une d’entre elles s’est envolée. Ce cri leur permet aussi de se coordonner, car ils s'appellent avant de prendre leur envole en groupe.
    Mais j’ai aussi Cachou qui l’utilise pour signaler que le téléphone sonne.
    Cri de douleur : il est aussi strident, mais un peu plus grave que le cri d’appel. Si vous l’entendrez, vous le reconnaîtrez tout de suite.
     
    En plus de ces cris d’urgence, elle bavarde un peu. Avec un peu d’expérience, on peut reconnaître différents bruits et les associer à des circonstances particulières. Mais ils sont moins universels, et il arrive que chaque oiseau à les siens s’ils n’ont pas été élevés ensemble.
    Par exemple, Cachou peut faire un bruit interrogatif devant un objet qu’elle ne connaît pas, alors que les autres utilisent le même bruit dans des circonstances neutres et plus généralement quand ils somnolent.
    Un autre exemple, Kirouette me demande l’autorisation avant de s’envoler vers une des cages, et c’est le seul à le faire.
    Un dernier cas, le bruit de bébé, que Yakaris a gardé malgré son 1 an. C’est un bruit assez proche du cri d’appel, moins puissant et moins strident. Il l’utilise surtout quand il n’est pas très assuré.
     
     
    En plus des bruits, la calopsitte prend des postures bien particulières en fonction de ses humeurs, et la hupette intensifie les différences entre les postures.(Passez la sourie sur la description pour voir la photo correspondante)
    Hupette dressée et tête légèrement inclinée : attentive, intriguée. Elle a vu quelque chose qui l’interpelle, et ne s’est pas encore si elle doit en rester curieuse, indifférente, ou en avoir peur.
    Hupette couché, bec ouvert pour mordre ou en train de cracher : elle a peur et se sent agressée. Faites attention, elle peut pincer très fort voir jusqu’au sang si elle ne vous connaît pas ou si elle a mal. (je le sais d'expérience...)
    Plumes ébouriffés, juché sur une patte, le bec sous une aile : elle dort ou somnole, ne la dérangez pas. (Ici, Cachou a gardé un oeil ouvert pour surveiller l'appareil l'apareil photo.)
    La queue levé et la tête couché, l’oiseau est à l’horizontale, et fait des petits bruits bizarres : parade amoureuse, elle quémande des faveurs à un de ses congénères. ( par respect pour le jeune public, cette photo a été censuré )
     
    Sur cette photo, Cachou s'est posé sur une plante en hauteur. Elle a appelé et attend qu'on vienne la chercher.
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  • Je vous avais déjà présenté mes calopsittes en plein vol, photos difficile à prendre par leur vitesse de vol, mais aussi par le déplacement, il faut l'avouer. Je vous présente aujourd'hui quelque chose de pas plus évident à obtenir, voir même plus difficile. Pour cela, il faut remercier la personne qui a prit les photos, et qui garde mes p'tites boules de plumes, Lydie.

    Mais je ne vous ferais pas attendre plus longtemps, voici Pirlouis, en plein décollage. Vous pouvez admirer l'aisance et la maitrise, qu'il a mit des années à peaufiner. Mais laissons place à la star!

    DSC03493DSC03492DSC03494


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  • Certaines calopsittes sont doué pour le chant, les sifflements et les bruitages en tout genre. De manière générale, c'est plutôt les mâles qui se montrent enclin à faire entendre leur voix. Mais pour les détecter et surtout exploiter leur don, cela peut demander de la patiente et du temps.
    Leur répertoire peu être très varier, et ce sont surtout des bruits ou des sons qu'ils entendent régulièrement. Si vous chercher à lui apprendre un bruit, un sifflement ou un mot simple, attendez-vous donc à le répéter très souvent et sur une longue période.
    Il faut aussi leur faire réviser ce qu'ils ont appris, pour qu'ils ne l'oublient pas. Pour cela, un quart d'heure tous les jours, c'est l'idéal. Pour les faire réviser, commencer par reproduire vous-même leur répertoire (ou du moins, tout ce que vous êtes capable d'imiter). Ils se prendrons rapidement au jeu et ressortiront tout ce qu'ils ont appris. Refaites particulièrement ceux qu'ils ne font pas d'eux-mêmes. Ce moment de révision est le moment idéal pour lancer un nouveau bruit.
    On peut aussi leur laisser apprendre ce qu'ils veulent et y voir un résultat parfois très surprenant.
     
    Par exemple, voici le répertoire de Pirlouis, le principal bruiteur du groupe : grincement de porte, rugissement (j'ignore où il l'a trouvé), petits claquement de langue contre le palais, et les cris des calopsittes (cris d'appel, de douleur et d'amour).
    Plus limité et encore débutant, Yakaris n'a encore qu'un bruit à son actif, une sorte de "gnack !" qu'il utilise quand il est contrarié ou pour commenter une situation.


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