• Un jouet n'est pas obligé de ressembler à quelque chose (pieuvre, hérisson, ...) pour intéresser nos cocos. Il suffit de mettre dessus tout ce qui pourrait leur plaire, comme ce méli-mélo, tout en fils et perles, mais sans aucune cohérence.


    Un petit anneau de métal va servir de base pour nouer différents types de fils. Il y en a de toute sorte : coton, ruban, papier, ... même une cordelette orange, un ornement issus d'une étiquette de vêtement (rien ne se perd). Sur les ficelles sont passé des perles : en acrylique, en bois, et même des disques de bois tendre peints au colorant idéal pour être grignoté. Et un petit bonus : deux grelots !
    Ces grelots, en plus de plaire à l'oreille de nos oiseaux, nous apportent de précieuses informations. En effet, dès que vous entendez un grelot, il vous suffit de lever les yeux pour savoir quel jouet est manipulé, sans avoir besoin de les surveiller constamment. Ça permet de savoir facilement quel jouet à plus de succès qu'un autre.


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  • La ficelle papier a rencontré un très grand succès auprès de mes cocos, tellement que je me suis arrangé pour leur en trouver avec d'autres colories, pour varier les plaisirs. Mais voilà, si je leur mets de grands brins, ils vont les découper à la base, et le jouet n'aura pas une grande durée de vie, comme la pieuvre qui perd très vite ses pattes...


    Le hérisson va proposer tout plein de brins en ficelle papier, piqué sur un carré de cuir végétal. Le cuir va être percé, puis les fils seront insérés à l'aide d'une aiguille. Un nœud de chaque coté du cuir les maintiendront en place. En guise d'yeux, deux trous suffiront et ne menaceront pas l'équilibre du jouet. Pour le suspendre, un perle, légèrement plus grande que le trou central, permettra de le lier à l'accroche.

    Ce jouet a été une révélation pour Kiwi et Choupette, les tactiles du groupe. Il a même réussit à détrôner le jouet à déchiqueter, ce qui est quand même quelque chose ! Mais voilà... Cookie est passé par là et a découpé toutes les épines du hérisson... Malgré plusieurs tentatives, il démontait plus vite le jouet que je le réparais...

     


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  • Au vu du succès qu'à rencontré le jouet à déchiqueter (grand favori de Kiwi), j'ai songé à en faire une version comestible : une véritable brochette à béqueter et grignoter !


    La base du jouet est un fil de fer épais, plus pratique pour être nettoyé. Il faudra bien faire attention à recourber les extrémités, pour ne pas risquer de blesser un oiseau. Une extrémité sera tordu pour retenir la garniture, alors que l'autre sera assez fine pour y passer perles et friandises, tout en permettant d'y passer un anneau pour suspendre la brochette.
    La garniture alternera entre grosses perles colorés et friandises diverses : pain, morceaux de pommes, rondelles de carottes... tout ce qu'apprécie votre coco. Soyez tout de même modéré dans les quantités de nourriture. Les oiseaux ont un petit appétit, et de trop gros morceaux se gâteront avant d'être entièrement dégusté. Ainsi, mieux vaut privilégier de petits morceaux de friandises au milieu d'un grand nombre de perle pour régulièrement réapprovisionner la brochette, que de gâcher par excès de générosité.


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  • Je continue dans mes tentatives de faire accepter leur baignoire à mes cocos. La curiosité n'ayant pas suffit, je vais passer par leur gourmandise, en les initiant à une nouvelle activité de foraging. A l'état sauvage, les calopsittes cherchent leur nourriture sur le sol, et grattent la terre pour déterrer les graines. C'est ce que nous allons leur proposer ici, avec des matières plus plaisante que de la terre ou de la boue, et avec quelques étapes pour qu'elles apprennent le principe.

    Coté matériel, il vous faudra :
    - la baignoire, un dessous de pot en terre cuite émaillé, trouvable en jardinerie
    - des graines de tournesol ou de leur mélange habituel
    - une quantité de grosses perles de bois (pour que vous les voyez avant de mettre le pied dessus si elles tombent de l'aire de jeu)
    - du sable spécial oiseau

    Vous allez placer la baignoire sur le sol de leur aire de jeux, à l'écart des perchoirs pour pas qu'elle soit souillée. Et vous allez y placer quelques graines, rien de plus. Quand elles seront repérées et mangées, ce qui peut prendre un peu de temps, vous recommencerez, jusqu'à ce qu'il n'y a plus aucune hésitation de la part de vos cocos pour les récupérer.

    Pour l'étape suivante, il faudra faire un choix entre les perles et le sable. Le sable donne un coté plus ''naturel'' à l'exercice, mais les oiseaux, en volant, pourront en répandre partout, tant c'est léger. Les perles ont un coté plus ludique, par leurs couleurs et leur propension à rouler, il faudra juste faire attention à ne pas marcher dessus si elles tombent de l'air de jeux.

    Au début, il ne faudra mettre que quelques perles, ou un peu de sable, les graines bien en évidence, le mieux est de le faire à la vue des calopsittes. A chaque fois qu'elles s'habituent au nouveau degré de difficulté, on va l'augmenter :
    - mettre plus de sable ou de perle
    - commencer à cacher à moitié quelques graines sous un peu de sable ou une perle
    - commencer à cacher totalement quelques graines sous du sable ou sous une perle (voir dedans!)
    - au niveau final de difficulté, toutes les graines sont totalement dissimulées et les oiseaux doivent déplacer le sable ou les perles pour les découvrir.


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  • Chaque oiseau a ses préférences en matière de jouets. Certains adorent les textures, d'autres de faire du bruit, ou encore de béqueter des perles. On peut faire un jouet pour un chacun, un jouet combinant plusieurs caractéristique, ou encore leur laisser le choix en faisant travailler leur intellect, comme ce tourniquet.


    Le corps du jouet est un disque de bois, percé de cinq trous, un au centre qui servira d'axe de rotation, et quatre aux extrémités, qui seront garnit différemment : une clochette, du raffia, des petites perles, et un cordon de cuir. Que des choses qui sont fort appréciées ! ^^
    Le disque est suspendu par son axe, avec quelques perles et un fil de fer épais pour lui facilité la rotation. Il faut prendre garde à bien recourber les extrémités du fil de fer, pour ne pas risquer de blesser les oiseaux.

    Le tourniquet a été très vite adopté, et trituré pour que chacun ait à porté de bec ce qu'ils préfèrent : le cuir est le grand gagnant devant le raffia. A la prochaine réparation, je tâcherais de rigidifier les cordelettes qui le soutienne, pour qu'il ne soit pas possible de retourner le tourniquet, et qu'il garde toute sa difficulté.


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